Aller au contenu

De la nature à votre table

CE Labadille, Alain Hastain, 2010. 250 espèces comestibles. Livre, 160 p. Editions OREP
EPUISÉ aux éditions OREP

Disponible sur la même thématique, par Labadille et Hastain : Plantes et saveurs de Bretagne et d’ailleurs. 300 plantes comestibles, 70 recettes. 192 p, 2021. Editions COOP BREIZH. 15,00 € + Frais de port

Guide sur les plantes comestibles. 250 espèces à découvrir dans leurs milieux naturels (nombreuses photographies des espèces et des milieux).
En moins d’un siècle, de nombreuses plantes sauvages, jadis largement utilisées, ont disparu de nos jardins. La mondialisation des systèmes de production et l’organisation de la grande distribution ont, peu à peu, imposé des goûts différents et de nouveaux schémas de consommation…

De ce fait, nous ne connaissons plus les  » bonnes herbes  » de chez nous et, pour tout dire, leurs saveurs pourraient même nous paraître étranges, voire étrangères… alors que bien des fruits et légumes achetés dans nos villes sont originaires de l’autre bout du monde ! Réapprendre aujourd’hui à connaître notre patrimoine végétal ne semble donc pas dénué d’un certain sens.

Mais si connaître les plantes sauvages comestibles est une chose, savoir où les trouver dans la nature en est une autre ! C’est l’objectif principal fixé à cet ouvrage qui souhaite, avant tout, encourager et faciliter les recherches de terrain dans la France entière : les quelques 250 espèces décrites sont donc présentées au travers de 18 grands ensembles naturels où elles croissent, pour la plupart, de façon spontanée.
Au-delà de cette découverte, un parallèle utile pourra être établi entre plantes comestibles et bien-être personnel, car les principales propriétés de chaque espèce sont aujourd’hui bien connues et rappelées dans ce guide.

Il ne s’agit pas ici de se  » soigner  » par les plantes mais plutôt de pouvoir choisir de manger telle plante plutôt que telle autre, en fonction de ses besoins propres ou de ses manques personnels. Rappelons également que notre époque n’est pas épargnée par la précarité sociale : consommer des végétaux sauvages peut aussi constituer une économie non négligeable, voire apporter une relative sécurité alimentaire aux foyers les plus démunis.

Produits apparentés